« C’est canon cette étude, vous trouvez pas ? Parce que ce genre d’étude, moi je l’aime bien, elle nous dit quoi en fait ? Elle nous dit, ah ouais, ça veut dire que si je me dis qu’au final, je suis hyper douée, je vais déjà être un peu mieux dans ma réussite ! Ça veut dire que je vais moins en ch***. Donc là, je me suis dit OK, nouvelle croyance : ‘Tout est en moi’ ! Je suis tout. Moi, elle m’arrange cette croyance, je l’aime. Je l’aime parce qu’elle me fait avoir aucun effort. Elle me fait me dire, j’ai tout en moi. Je la kiffe. Elle m’arrange, elle me permet tout, en fait. Elle me permet tous les raccourcis. Et je me dis, eh bien je n’ai besoin d’aller nulle part, en fait puisque j’ai tout en moi, tout est à l’intérieur de moi. Je n’ai qu’à me révéler. Voilà une croyance dans notre réussite ! J’ai tout. Alors après comme je n’aime toujours pas l’effort, je me dis, j’ai tout mais il faut que j’y aille, quelque part. Et là, je tombe sur quelqu’un d’inspiré qui dit que ‘Tout est là’. ‘Tout est là’. Alors ... j’avais déjà, le, ‘J’ai tout en moi’, et là,’ Tout est là’. C’est à dire que la seule chose qui m’empêche de ne pas avoir ou de ne pas voir ce que je désire, ce sont juste des croyances, ce sont juste des informations. Je me dis, ‘Tout est là’, ma réussite elle est là, c’est juste que je ne la vois pas à cause de mes croyances. OK, nouvelle croyance ! Non seulement, j’ai tout, donc j’ai les aptitudes de mes rêves, j’ai tout en moi, mais aussi ‘Tout est là’. Eh, c’est pas kiffant de construire comme ça ? On est d’accord ? Sincèrement, moi je vous le dis, c’est hyper kiffant ! Parce que je ne suis toujours pas à l’extérieur en train de transpirer, je suis toujours de mon canapé. ‘Tout est là’ il a dit, d’accord ? Il faut simplement à un moment donné avoir encore le courage, le courage, ce fameux courage de penser quelque chose qu’on nous a jamais appris, ...et je reviens toujours à ça, le courage ! Et je me dis, oh, mais ça, c’est pas mal, parce que, comme on nous a appris le courage, qui est un truc vachement bien, je vais le positionner au bon endroit. Je vais me dire, parce que moi je n’aime pas la souffrance, le courage, je ne vais pas le mettre dans le fait que j’ai souffert et que j’ai réussi à dépasser cette souffrance, je vais le mettre dans le courage de penser autrement. »