« Pour faire PDM, l’idée c’est de comprendre déjà, que l’on a un pouvoir personnel. C’est-à-dire que l’on a une capacité de pouvoir se mettre en hauteur sur quelque chose que l’on se raconte à l’intérieur de soi. On va appeler ça la conscience. Et ça c’est absolument fabuleux, car vous pouvez vous voir penser. Par exemple, quand vous pensez à une pomme, vous pouvez vous voir penser à une pomme. Et on va utiliser ce phénomène d’observation, puisque vous allez vous, dans votre vie, dans votre réalité, vivre ce que vous regardez, ce que vous faites exister. Et ce que vous faites exister passe justement par votre système de pensée, qui interagit sur votre système émotionnel, de décision, de comportement, etc, etc. et donc votre réalité. Donc, ce qui va être intéressant, c’est bien de comprendre que PDM c’est la pratique de la conscience, c’est la pratique de son pouvoir personnel. Et ça, c’est fabuleux car ce sont des données que l’on n’avait pas encore il y a quelque temps, qui étaient peut-être réservées aux grands moines tibétains, ou à des maîtres. Et aujourd’hui ce qui est révolutionnaire, c’est qu’on sait que l’on a un véritable pouvoir sur ce que l’on se raconte de soi. C’est génial car si ce qu’on se raconte nous influence dans notre vie, imaginez le pouvoir que vous avez sur votre propre vie. »